Ses missions

Ses missions sont de conduire des activités de recherche en appui au développement agricole calédonien, de gérer la mise en commun, par les collectivités des moyens de recherche agronomique, de diffuser l’information scientifique vers différents partenaires, de participer à la formation de cadres néo-calédoniens, enfin de développer des relations de coopération scientifique avec des institutions homologues françaises et étrangères.
Pour en savoir plus
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Connaissance et amélioration des agrosystèmes

Le développement d’une agriculture durable implique une amélioration des différentes techniques agricoles pour chacun des systèmes de culture concernés. Les travaux de recherche menés dans le cadre de l’axe I ont donc pour objectifs de contribuer à améliorer les connaissances sur le fonctionnement des agro-systèmes tropicaux aux différentes échelles d’analyse disponibles.
Diversité biologique et fonctionnelle des écosystèmes terrestres

Les espèces insulaires sont particulièrement soumises aux extinctions. Bien qu’elles ne représentent qu'une faible proportion des espèces mondiales, elles constituent la majorité des extinctions enregistrées. Leur vulnérabilité est directement liée à la particularité des forces évolutives qui régissent leurs écosystèmes.
Connaissance des espèces et des milieux

Mettre au point des référentiels et des outils pour la connaissance et le suivi de l'état de la biodiversité.
Objectifs et justifications
Améliorer les connaissances sur des espèces endémiques ou autochtones exploitées bien souvent et/ou à fort intérêt patrimonial, afin d’en assurer une meilleure gestion / conservation.
Ecologie des Mégachiroptères
Ecologie des bulimes
Objectifs et justifications
Améliorer les connaissances sur des espèces endémiques ou autochtones exploitées bien souvent et/ou à fort intérêt patrimonial, afin d’en assurer une meilleure gestion / conservation.
Ecologie des Mégachiroptères
Ecologie des bulimes
Restauration des sites miniers

Les substrats ultramafiques abritent des milieux d’une grande richesse, mais également d’une grande fragilité. L’exploitation minière et les feux d’origine anthropique sont les principales menaces, à l’origine de problèmes d’érosion des sols, de dérèglement des débits hydriques, de pollution des cours d’eau et de perte de biodiversité.
Le projet Sysmin s’intéresse à l’amélioration des techniques de revégétalisation en vue d’une restauration écologique des milieux miniers. Les objectifs inscrits dans la convention avec l’Union européenne concernent :
- L’étude la phénologie des espèces indigènes,
- L’étude des conditions de germination et de conservation des semences,
- La création de champs semenciers,
- L’étude des topsoils,
- L’amélioration des techniques de revégétalisation,
Le projet Sysmin s’intéresse à l’amélioration des techniques de revégétalisation en vue d’une restauration écologique des milieux miniers. Les objectifs inscrits dans la convention avec l’Union européenne concernent :
- L’étude la phénologie des espèces indigènes,
- L’étude des conditions de germination et de conservation des semences,
- La création de champs semenciers,
- L’étude des topsoils,
- L’amélioration des techniques de revégétalisation,
Restauration en forêt sèche

Sur l’îlot Leprédour, une étude a été conduite en 2009, afin de réaliser un état des lieux (point zéro) en vue d’une restauration écologique, en partenariat avec la Province Sud.
L’îlot présente des reliquats de forêts sclérophylles peuplés de quelques espèces végétales rares ou micro-endémiques. On peut notamment citer le Pittosporum tanianum qui persiste à l’état naturel uniquement sur cet îlot.
La forêt sclérophylle est l’écosystème le plus menacé de Calédonie, ces massifs qui persistent sur la côte ouest de la Grande-Terre méritent donc un maximum d’attention. A ce titre, une restauration écologique de l’îlot a été engagée, elle devrait permettre de limiter l’impact des espèces envahissantes et favoriser la régénération des massifs forestiers sclérophylles.
L’îlot présente des reliquats de forêts sclérophylles peuplés de quelques espèces végétales rares ou micro-endémiques. On peut notamment citer le Pittosporum tanianum qui persiste à l’état naturel uniquement sur cet îlot.
La forêt sclérophylle est l’écosystème le plus menacé de Calédonie, ces massifs qui persistent sur la côte ouest de la Grande-Terre méritent donc un maximum d’attention. A ce titre, une restauration écologique de l’îlot a été engagée, elle devrait permettre de limiter l’impact des espèces envahissantes et favoriser la régénération des massifs forestiers sclérophylles.